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14 mai, 2014

La Cinémathèque Robert Lynen

Classé sous Informations — Migas @ 12:35

Sauvons la Cinémathèque des enfants !
La Cinémathèque Robert Lynen en grand danger : quand les politiques, à Paris, se mêlent de cinéma…

Signez la pétition proposée par la SCAM :

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Soutenez la Cinémathèque Robert Lynen en signant cette pétition !

Audiovisuel et cinéma, Pétition | Le mercredi 18 décembre
Depuis Jules Ferry, l’Éducation nationale est l’une des priorités du pays, une mission régalienne de l’Etat, au même titre que la Santé publique. Dans les années d’après-guerre, les pionniers de la télévision, devinant son futur impact sur la société, rêvaient que le petit écran devienne l’école du XXe siècle. L’ambition était noble… et pas tellement utopique. La place de l’image dans nos sociétés est telle (film, télévision, jeux… sans oublier la publicité évidemment) que l’éducation à l’image des enfants doit être aussi essentielle que l’apprentissage de la lecture, des langues étrangères, de l’Histoire et des mathématiques.
L’éducation à l’image est un travail de longue haleine et un exercice subtil nécessitant bien des compétences.
Toutes les initiatives méritent d’être encouragées. Il en est une qui existe depuis près de 90 ans et qui est cependant menacée de disparaître. Nous nous mobilisons aujourd’hui pour sauver une salle méconnue mais qui joue un rôle essentiel auprès des jeunes publics ; il s’agit de la Cinémathèque Robert Lynen, située 11 rue Jacques Bingen dans le XVIIe arrondissement de Paris. Certains d’entre nous y ont découvert la magie du cinéma lorsqu’ils étaient enfants ou étudiants. 

Le bâtiment a été légué à la Ville de Paris dans les années 30, par un généreux donateur qui a demandé qu’y soit créée une cinémathèque. Cette institution a ainsi construit un fonds cinématographique exceptionnel et insoupçonné, constitué de films en support 16 mm et 35 mm, essentiellement du documentaire, mais pas seulement. Une équipe passionnée, animée par Emmanuelle Devos (homonymie prédestinée) anime cette cinémathèque.  
Au fil des décennies, la Ville de Paris n’a malheureusement pas assuré l’entretien de l’immeuble et, depuis quelques années, la salle n’est plus aux normes de sécurité pour recevoir du public en nombre. Depuis, hors les murs donc, des projections itinérantes en 16 mm ont été mises en place dans les écoles de Paris et sa région. Il faut voir l’émerveillement des enfants devant un projecteur 16, eux qui ne connaissent que le lecteur DVD ou l’ordinateur ; il faut voir leur enchantement devant cette pellicule film qui donne vie à des images, eux qui ne connaissent que les pixels de leurs écrans de téléphone. Cette génération, étiquetée « native digital », baigne dans le virtuel depuis sa naissance. Pour elle, les images, présentes à profusion pour ne pas dire à overdose, sont d’une telle banalité qu’elles perdent leur valeur. Pour ces enfants, la projection film est comme la lanterne magique ; elle apparaît dans leur vie après l’image numérique et paraît être la dernière nouveauté.     
Le projet de la ville est flou et semble double. D’une part se débarrasser de l’immeuble en le vendant et d’autre part, numériser le fonds pour le disperser auprès de divers établissements ; ce qui est inquiétant est que la Ville n’a pas les droits de numérisation sur tous les films et dit ne pas savoir ce qu’elle ferait des supports 16 et 35 mm. La suppression des projections sur support film a même été annoncée auprès des établissements scolaires.
Pour le comité de soutien initié par la Scam, le seul projet viable est simple :
sauver la salle en organisant la mise aux normes du bâtiment et en l’équipant techniquement,
-relancer le projet pédagogique d’éducation à l’image et au cinéma en programmant dans cette salle rénovée le fonds riche de 4000 supports 16 et 35 mm, ainsi qu’en permettant l’accueil en ateliers dans les locaux rénovés,
que cette salle ne soit pas réservée aux projections scolaires mais devienne un nouveau lieu de projections pour le documentaire, genre s’il en est, ô combien, d’éducation et de formation des citoyens et futurs citoyens que sont les enfants et les adolescents, avec l’organisation de séances tous publics,
-  de déterminer une nouvelle politique d’acquisition pour enrichir cette collection,
-  de relancer une campagne de restauration des films conservés, d’assurer la valorisation et la conservation de cette collection,
-  de continuer les projections itinérantes 16 mm dans les établissements scolaires.
Nous, membres du comité de soutien, demandons aux candidats à la Mairie de Paris, de se prononcer avant les élections sur ce qu’ils feront de la Cinémathèque Lynen. Nous demandons des engagements précis et un calendrier. JE SIGNE LA PÉTITION

Le site de la SCAM : http://www.scam.fr/fr/Accueil.aspx

21 février, 2014

6ème Edition du Festival 8-9,5-16

Classé sous Informations — Migas @ 13:00

 fest 89516 2014 DEF

 

VENDREDI 28 MARS 2014
au CECAS/ESPACE DES ARTS
des PAVILLONS-SOUS-BOIS (93)

 

Vous pouvez télécharger le règlement
et la fiche d’inscription
ainsi que l’affiche et l’accès à la salle.
C’est ici :

 

fichier pdf Règlement 2014
fichier pdf Fiche d’inscription 2014
fichier pdf Affiche Fest. 2014
fichier pdf Accès à l’EDA

 

 

Déroulement prévu du Festival 2014 :

 

La sixième édition de notre Festival 8-9,5-16 se déroulera

le vendredi 28 mars 2014.

 

De 17H00 à 20H00, les gens qui le souhaitent pourront projeter des films de famille qu’ils n’ont plus l’occasion de voir faute de matériel pour les visionner.
Puis, à 20H30, nous passerons la « sélection officielle » jusqu’à …

 

La grande majorité des films seront projetés dans leurs formats d’origine. Nous y tenons pour plusieurs raisons :
1. La qualité de l’image est meilleure.
2. C’est notre principale originalité, en tant que festival.
3. Alors que nous assistons, impuissant à la disparition du cinéma argentique, c’est faire acte, non de résistance car la cause est perdue, mais de « désobéissance », si je puis dire !
4. Nous sommes amoureux du cinéma argentique, de la pellicule et du matériel qui l’accompagne.
Nous ferons cependant quelques exceptions en projetant quelques films en numérique, car nous ne pourrons faire autrement, pour voir des travaux ou des oeuvres particulièrement intéressants.
Mais cela restera exceptionnel.

 

A très bientôt Michel Gasqui

 

Pour découvrir la liste des films sélectionnés,
cliquer ici : http://cecascinescopie.unblog.fr/2014/01/29/au-programme-2/

 

 

Renseignements et inscriptions (Information and registration) :

Séverine Houy  – Tél : 01.41.55.12.80 espacedesarts@wanadoo.f
Michel
Gasqui – Tél : 03.23.53.25.81 michel.gasqui@orange.fr

FESTIVAL 8-9,5-16
Espace des arts : 144 avenue Jean Jaurès, 93320 Les Pavillons-sous-Bois, France.

Cinéscopie et Cinémathèque du Cinéma Amateur : 3 rue du Pot d’Etain, 02200 Soissons, France.
http://cecascinescopie.unblog.fr/

 

 

 

24 mai, 2013

Souscription

Classé sous Informations — Migas @ 11:09

Vous pouvez aider Frédéric Rolland à réaliser son projet :
LES AMOUREUX DE LA PELLICULE
Un film documentaire de 52 minutes sur les collectionneurs en cinéma.

Pour cela, rendez-vous sur le site :
http://www.kisskissbankbank.com/les-amoureux-de-la-pellicule?ref=search

 

Souscription dans Informations batfred

La genèse du projet

Ce film s’inscrit dans la continuité de ma thèse de doctorat en cinéma et audiovisuel soutenue, en 2009, sous le titre : Les collections privées de films de cinéma en supporteurs argentique en France. Étant moi même collectionneur de films et investit sur ce thème au niveau associatif et professionnel, il m’a semblé important de montrer l’existence même de ces inconditionnels de la pellicule et des projecteurs d’antan.

Depuis les années 1970, au fur et à mesure de l’évolution des technologies de diffusion, du développement des cinémathèques institutionnelles ou encore d’un cadre juridique de plus en plus hostile, ces confectionneurs ont été relégués à l’arrière-plan ce qui a aboutit à une méconnaissance de ces fonds patrimoniaux et a bridé l’accessibilité et le partage des collections.

Durant l’été 2011, j’ai rassemblé quelques images tournées au départ à d’autres fins et ai commencé à en tourner de nouvelles pour initier la production de ce documentaire. Pour diverses raisons le projet a été suspendu et redémarre pour sa phase finale avec cet appel pour une finalisation du tournage pour la fin de l’année 2013 et l’édition d’un Blu-Ray au plus tard au 1er trimestre 2014.

 

18 septembre, 2012

Le Cinéma Argentique n’est pas mort

Classé sous Non classé — Migas @ 13:31

Du nouveau de l’Abominable !

L'Abominable

Le samedi 29 septembre, à l’occasion de notre journée Portes ouvertes, venez nous rencontrer et découvrir L’Abominable, avant une soirée de projections au cinéma L’Etoile de La Courneuve.
Nous nous retrouverons ensuite pendant l’automne dans différents lieux de la Seine-Saint-Denis, où vous pourrez découvrir un aperçu de ce qui a été réalisé à L’Abominable ces dernières années.
A l’heure où les projecteurs 35 mm sont mis à la benne par centaines (on s’en mordra les doigts) et que l’industrie de la post-production argentique part à vau-l’eau, il est vital pour la création cinématographique de pouvoir continuer à produire et diffuser des films sur pellicule. Cette programmation de films et de performances  témoigne de la richesse et de l’importance de cette fabrication.
Merci à tous les lieux qui nous accueillent pour ces rendez-vous de cinéma : Les Rencontres du Cinéma Documentaire au Mélies à Montreuil (lundi 8 octobre), Les Instants Chavirés à Montreuil (mardi 6 novembre), l’Espace Khiasma aux Lilas (jeudi 22 novembre) et le Théâtre de l’Echangeur à Bagnolet (lundi 26 novembre).

Téléchargez le programme complet en pdf

Programmation réalisée avec le soutien de

logo SSD

PORTES OUVERTES

Samedi 29 septembre de 14h à 20h
entrée libre
L’Abominable
30 rue de Genève, 93 120 La Courneuve
RER B / La Courneuve-Aubervilliers
Tel : 01 82 02 62 72

Téléchargez le plan d’accès

Venez visiter nos locaux et nos installations, nous rencontrer et partager un verre… Dans les anciennes Cuisines Scolaires de la ville, nous avons installé développeuses et tireuses, chambre noire, banc-titre, salles de montage, passages depuis et vers le numérique, tous les outils (certains devenus rares !) pour travailler le support film, que nous mettons à disposition de nos adhérents pour produire. A intervalle régulier, tout au long de l’après-midi, nous projetterons quelques films qui ont été réalisés dans notre atelier.

in arbeit

CINEMA L’ETOILE

samedi 29 septembre à 20h30
entrée libre1 allée du Progrès
93 120 La Courneuve

En clôture des Portes ouvertes, le cinéma L’Etoile nous accueille le temps d’une soirée. Elle débutera par le premier épisode, consacré à L’Abominable, d’une série documentaire sur les espaces collectifs de travail et se poursuivra avec quatre films réalisés dans notre laboratoire, s’appropriant chacun à sa manière les principes techniques du cinéma afin d’en explorer les possibilités.

inarbeit in arbeit (en construction) – épisode 1 de Minze Tummescheit et Arne Hector, vidéo, 45’, 2012

Premier épisode d’une série d’entretiens  sur la question du sens de nos activités, tournée dans différents lieux en Europe. Cette série interroge la conception traditionnelle du travail et montre des biais coopératifs entre contrainte et sens.

Le granier Le granier, version II, d’Olivier Fouchard, 35 mm, 17’, 2009

Cette nouvelle version du film LE GRANIER a été réalisée par montage des chutes de la première version (LE GRANIER, PAYSAGE ETUDE N°1). Certaines séquences de ces deux versions ont été grattées et teintées sur la pellicule cinématographique elle-même, d’autres séquences développées à la main et révélées au pinceau en lumière inactinique. Enfin le négatif teinté à la main à l’aide du procédé Jaffeux fut inversé en positif.

inter (I)nter de Marie-Odile Sambourg, 35 mm, 1’, 2011

Ce film très court, peint à la main, se présente sous la forme d’un poème de pures couleurs, exclusivement visuel et muet. « Peindre une succession d’images sur le support cinématographique est pour moi un moyen d’approcher la lumière, la couleur, la forme, le mouvement, le rythme autrement que sur la toile ou le papier. »


restela Reste-là de Frédéric Tachou, 35 mm, 12’, 2006

Film tourné avec un système de caches contre-caches. « Une nuit, j’ai rêvé de mon père. Je voyais une maison familière dont l’unité architecturale et spatiale était disloquée au profit d’un assemblage discontinu de pièces, d’ouvertures et de volumes. Le film montre ces espaces du dedans, hantés par la présence de celui qui venait de mourir. »

pvi Parties visible et invisible d’un ensemble sous tension d’Emmanuel Lefrant, 35mm, 7’, 2009

Afrique, 2003 : mécanismes de la mémoire et du souvenir. « J’ai filmé un paysage de brousse, et enterré simultanément un ruban de film à l’endroit même où ce plan a été filmé: l’émulsion, victime de l’érosion, est ainsi sujette à une dégradation biochimique. »

logo l'abo

22 novembre, 2011

Cinéma et vidéo numérique 7

Classé sous Polemique — Migas @ 16:54

Suite à la soirée
LE SUPER 8 FAIT SON CINÉMA,
dans la fantaisie documentaire de Rémy Batteault, « SUPER 8… MON AMOUR ! », la réflexion d’un technicien qui répare notamment les caméras super 8, a retenu mon attention.
Il expliquait comment l’image filmée est reproduite sur la pellicule argentique par une intervention directe de la lumière qu’elle renvoie créant à son tour une image « vivante » à l’effigie de celle d’origine. Le numérique est incapable de reproduire l’image réelle. La lumière n’intervient ni sur la bande ni sur le disque dur mais provoque des signaux codés qui créent un succédané d’image, produit virtuel à l’aspect troublant car sans vie. Ceci explique notamment les sensations de froideur métallique, de définition exagérément poussée, d’hyper présence, etc.
L’effet est particulièrement net dans les blancs purs qui n’existent ni dans la réalité ni en argentique mais bien en numérique.

à suivre…

M.G.

18 octobre, 2011

Cinéma et vidéo numérique 4

Classé sous Non classé,Polemique — Migas @ 14:33

Des Discours nostalgiques puérils !

On croit rêver ! Mais c’est vrai qu’ils ont tellement peur de louper le coche !

Nous n’avons pas entendu, au cours du colloque, de discours nostalgiques puérils autour de la pellicule. On sent en effet qu’une page est tournée, même si elle l’a été trop brutalement pour certains. Quand Milt Shefter, de l’Academy of Motion Picture, venu tout spécialement de Hollywood, nous dit qu’il faudrait classer la pellicule comme patrimoine de l’Humanité, au même titre que la pierre de Rosette, cela signifie beaucoup, que le support pelliculaire est presque déjà entré en tant que tel au musée des techniques.
(A propos du colloque sur le numérique citation piraté sur le site de la Cinémathèque française)

M.Milt Shefter et ses copains adultes ont tout compris !

Le Cinéphile puéril (Masqué).

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15 juin, 2008

KOMANEKO

Classé sous animation,Sorties cine — Migas @ 22:53

KOMANEKO ***
Film d’animation japonais, réalisé par Goda Tsuneo en 2006.

Il ne s’agit pas vraiment d’une sortie ciné puisque le film n’a pas encore trouvé son distributeur français.

Image de prévisualisation YouTube

Komaneko est une petite chatte inventive qui s’amuse, entre autres, à faire des films de marionnettes, avec ses poupées ! Ses aventures sont réunies dans cinq épisodes.

KOMANEKO dans animation komaneko_picnic

Ce film d’animation a été présenté au cinéma Le Trianon de Romainville, dans le cadre du Festival des classes images. J’ai été totalement séduit, avec les spectateurs du Trianon et l’équipe du cinéma,  au complet, par ce p’tit bout de pellicule bourré d’émotion. Beaucoup de tendresse, de douceur et de finesse dans un film d’animation destiné en premier lieu aux tous jeunes.
Les poupées animées, en peluche, sont délicates et simples. Les films les mettent en scène sous deux formes : en trois dimensions et en deux, façon bas-relief. L’animation peut nous rappeler la série des « Chapi chapo ». Les histoires n’en sont pas vraiment, elles sont surtout des mises en scène de situations cocasses et pleines de fraicheur. Il y a là de l’humour, de l’émotion et, mine de rien, l’introdution vers mille thèmes passionnants : le cinéma amateur (référence au format super 8 mm), les machines et mécaniques « rétro » et attrayantes (machine à écrire, avions téléguidés), les valeurs comme l’amitié, la tolérance, la générosité…
les petits riens de la vie quotidienne des enfants, les émotions, les sentiments…

Je dirai, pour finir, que l’esthétique, « ouatée », sans être mièvre est très subtile, dans les coloris, la composition de l’image et les détails des décors et que la partition musicale est riche, entre la chansonnette et le rock, en passant par le blues et le jazz.

Un très joli spectacle cinématographique pour les tous petits, les plus grands et même les plus vieux.

Michel

 

 


20 octobre, 2007

Films pour jeune public (et les autres)

Classé sous animation,Reprises cine — Migas @ 20:08

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LE DIRIGEABLE VOLE  ****
Karel Zeman
1967

Encore un petit chef d’oeuvre du grand cinéaste tchèque Karel Zeman. C’est toujours une chance exceptionnelle de pouvoir voir ou revoir ces films sur grand écran et dans des copies impeccables.
Le Dirigeable volé est tiré du roman de Jules Vernes « Deux ans de vacances ». Cinq jeunes garçons, à l’occasion d’une exposition sur la technique, en 1891 à Prague, montent dans un dirigeable et s’envolent pour une aventure fantastique pleine d’humour. Pour la fraicheur et l’invention, nous sommes dans du Méliès – paternité dont se revendiquait volontiers Karel Zeman -, pour l’aventure et le goût des inventions, Jules vernes est respecté. L’humour omni présent me semble caractéristique d’un humour tchèque dans la lignée du brave soldat Chveik. L’esthétique du film est splendide, dans le style des « Aventures fantastiques » – images « vivantes » alliées aux gravures que l’on trouve dans les éditions Hetzel. Le film n’est pas en noir et blanc, ce qui ne signifie pas qu’il est en couleur – dans le sens habituel-, mais qu’il est avec des couleurs, avec des teintures, avec des couleurs apposées comme on procédait au temps des films muets : coloriage au pinceau ou au pochoir et teintures appliquées sur la pellicule.
Le dirigeable volé est un petit bijou une émeraude qu’ apparemment tout le monde n’est pas capable d’apprécier comme ce gros beauf en sortant du cinéma qui se vantait d’avoir bien dormi ! Je lui ai répondu !

Michel !

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Image de prévisualisation YouTube

 

 

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