Les plus belles MUSIQUES DE FILMS
LES PARAPLUIES DE CHERBOURG – Jacques Demy (1964)
Musique de Michel Legrand – chansons par Danielle Licari et José Bartel

Les plus belles MUSIQUES DE FILMS
BREAKFAST AT TIFFANY´S – Blake Edwards (1961)
Moon River : chanson écrite par Johnny Mercer et composée par Henry Mancini et originalement interprétée par Audrey Hepburn.
PAILLARD BOLEX BOOLSKY
Un ouvrage indispensable sur l’entreprise « mythique », publié aux éditions de la Thièle.
Thomas Perret, Roland Cosandey, Paillard – Bolex – Boolsky. La caméra de Paillard & Cie SA. Le cinéma de Jacques Boolsky, 188 p., 77 ill. en quadrichromie, relié, 1 vidéogramme. Préface de Pascal Broulis.
Editions de la Thièle, CH-Yverdon-les-Bains, ISBN 978-2-8283-0044-9
CHFr 57.- + port.
Dès 1935 et pour une quarantaine d’années, la caméra Bolex 16 mm, redessinée et produite par le fabricant suisse Paillard, s’est retrouvée, pour ses qualités mécaniques et son choix d’optiques, entre les mains de cinéastes de tous horizons, amateurs, professionnels, explorateurs, reporters, artistes… Dans la première partie de Paillard Bolex Boolsky, Thomas Perret décrit cette production industrielle et son cadre économique à partir d’une riche documentation visuelle et des archives de la maison Paillard.
Bolex est un nom rattaché à la personne de Jacques Boolsky (1895-1962), un inventeur d’origine ukrainienne installé en Suisse durant l’entre deux guerres, qui se lança dès le début des années 1920 dans le marché émergeant du cinéma pour amateur, en 35 mm (Cinégraph Bol), puis en 16 mm (Bolex de première génération).
Le deuxième volet de l’ouvrage, dû à Roland Cosandey, s’attache pour la première fois à la production cinématographique de Boolsky, entre cinéma privé et cinéma public, et cherche à dépasser l’opposition peu opérante entre film amateur et film professionnel, si courante quand il s’agit de décrire l’usage d’un format dit « substandard » comme le 16 mm.
Co-produit avec la Cinémathèque suisse, un vidéogramme de huit films accompagne cette publication mise en page par l’Atelier Cocchi, Lausanne. (R.C.)
Lien sur la soirée de présentation du livre et du DVD à la Cinémathèque suisse, le 29 octobre 2013 :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=pnNjsr8kmOQ
Le site des Éditions de la Thièle :
http://www.editions-thiele.com/
Nous sommes heureux de vous annoncer la 24ème édition du Festival CINE-JUNIOR.
Dossier de presse : CineJunior2014-DossierDePresse
Georges Méliès magicien des couleurs
Samedi 7 décembre, 16h
Cinémathèque française, 51 rue de Bercy, Paris 12e
Salle Henri Langlois
Festival Toute la mémoire du monde
Projection exceptionnelle de films Méliès peints à la main,
restaurés par la Cinémathèque française et les Archives françaises du film
Séance présentée par Jacques Malthête
Boniment par le conteur Julien Tauber
Accompagnement au piano par Jacques Cambra
L’Alchimiste Parafaragaramus ou La Cornue infernale, 1906
Le Merveilleux Éventail vivant, 1904
Le Raid de Paris – Monte-Carlo en automobile, 1905
Le Palais des Mille et une nuit, 1905
Le Voyage dans la Lune, 1902 (restitution de 1929)
La Légende de Rip van Vinkle, 1905, avec l’aimable autorisation de Marie-Hélène Leherrissey-Méliès
La copie du Voyage dans la Lune, teintée et retouchée au pinceau pour la soirée de gala donnée en l’honneur de Méliès le 16 décembre 1929, salle Pleyel, est une restauration des Archives françaises du film.
La Cinémathèque française remercie Madeleine Malthête-Méliès, qui a donné à notre institution de précieuses copies nitrate permettant de nouvelles restaurations, et Marie-Hélène Leherissey-Méliès, qui a permis la restauration de Rip van Vinkle
Photo : Le Raid Paris-Monte Carlo en automobile 1905 Cinémathèque française
DU VIRTUEL AU REEL
Voici un roman où il est question de cinéma ; pas sur le cinéma mais avec le cinéma.
Il est écrit par Theze, jeune auteur de la région de Toulouse qui en attendant, nous l’espérons, une édition en livre, nous propose son travail en lecture libre.
Pour reprendre ses mots :
Soyez curieux …
Présentation de l’histoire :
« Les films ont un pouvoir de transformation aussi bien sur les acteurs que sur les spectateurs. Tout dépend de la charge émotionnelle.«
L’histoire :
Comment faire sortir ROY DUPUIS de SOI ?
Comment faire sortir cet acteur de moi ?
Il y est rentré si vite, il aura suffi d’un film…..
Un film et toute la mécanique de l’obsession et de la création s’est mise en marche.
L’observer, la comprendre et faire émerger : fragments, textes et prétextes pour changer le virtuel en réel.
Telle est l’expérience à laquelle se livre l’héroïne de cette auto fiction graphique…
C’est un roman fragmenté, une romance, une auto fiction, un questionnement sur le virtuel et le réel, sur le cinéma, sur la construction de la personnalité, sur l’enfance qui nous détermine, sur la cohérence.
Sur la rencontre virtuelle avec un acteur, sur la rencontre d’un pays : le Québec.
Il parle d’un film : J’ai serré la main du diable et de ses conséquences sur moi : spectateur.
Ce n’est pas un livre sur lui mais avec lui.
Roy Dupuis était un prétexte à mon texte.
Rien de plus et mon côté romantique à fait le reste.
Petite PRÉSENTATION de L’Auteur :
Homo sapiens sapiens faber… Romantique et rebelle… Chercheur de sens et de savoir… Peintre et écrivain… Scientophile et cinéphile…
Terez vit à côté de Toulouse, mais garde le désir d’aller un jour vivre au Québec.
Dans ce premier roman, elle offre un étourdissant mélange des genres, aux confins de l’imagination créatrice, mêlant avec passion, la littérature et le cinéma, la peinture et le fonctionnement de la nature humaine…
Pour découvrir « DU VIRTUEL AU REEL », rendez-vous ici : http://du-virtuel-au-reel.webnode.fr/